| N.C. |
On dirait qu´on
sait lire sur les
lèvres
Et que l´on tient
tous les deux sur un tra
pèze
On dirait que
sans les poings on est tou
jours aussi balèzes
Et que les fen
êtres nous apai
sent
On dirait que l´on
soufflerait sur les
braises
On dirait que les
pirates nous assi
ègent
Et que notre a
mour, c´est le trés
or
On dirait qu´on se
rait toujours d´a
ccord
J´ai traqué les tou
jours, déssossé les
déesses
Goûté aux alen
tours, souvent changé
d´adresse
Ce qui nous en
toure, l´extension
de nos corps
Quand nous sommes un é
cart mineur, cher
cheur d´or
Quand faut-il être pour ?
Que faut-il
être encore ?
Quand faut-il être pour ?
Que faut-il
être encore ?
On dirait qu´on
sait lire sur les
lèvres
Et que l´on tient
tous les deux sur un tra
pèze
On dirait que
sans les poings on est tou
jours aussi balèzes
Et que les fen
êtres nous apai
sent
Peut-être que
la nuit, le monde fait la
trêve
Et qu´aujourd´hui,
ton sourire fait
grève
On dirait qu´on
sait lire sur les
lèvres
Et que l´on tient
tous les deux sur un tra
pèze
Peut-être que
la nuit, le monde fait la
trêve
Et qu´aujourd´hui,
ton sourire fait
grève
On dirait qu´on
sait lire sur les
lèvres
Et que l´on tient
tous les deux sur un tra
pèze