Un jour l´habitud
e, a été trop
Tu as posé ton fardea
u, et sans regret
La route s´est ouverte
, a tes pas
Tu sais que là-ba
s, tout un monde
Parfois tu imagines
, un repas de roi
Mais tu n´oublies pas
, que d´autres
Quand le soir te laisse
, désemparé
Tu sais où rencontre
r, les compagnons
On ne te demande pas
, Ce que tu étais
Parfois tu prends ta guitare
, Tu joues les chansons
S´éclairent bien souvent
.
Et puis soudain tu trembles
, car tu comprends
Que tous leur mots troublan
t,
Alors tu reprends la route
, et tu vas dire au loin
Le Mal n´est pas le Bie
n,
Que les gens n´entendent rien
.