J嫎tais a
moureux, j´avais
pas encore seize ans, j嫎tais a
moureux
J´la voy
ais tous les dimanches dans sa robe de sa
tin blanc
Dans l´p
arc on marchait ensemble, elle s´a
ssoyait sur un banc
J嫎couta
is le souffle charmant de sa bouche
sur mon cou
Elle a
vait deux fois mon âge, belle comme le
printemps
Comme un f
ruit dont on n´se lasse, à peine
trente ans
Je m´al
longeais à sa place dans son
lit parfumé blanc
Elle avanç
ait gracieusement glissant de
sa robe
Glissant de
sa robe que j´ai
mais ses yeux félins quand elle me
couvrait
Son co
rps tombait sur le mien j嫎tais
son homme
Son j
eune, son chun comme un
papillon qui naît
Allonge
ant grande mes ailes sortant de c
hez-elle
Ebl
oui de prendre le vent plein de
tendresse
Je m´suis
fait mal en tombant, plein de
tendresse
Mais
je m´suis relevé
hé, hé, hé,
hé, hé, hé, hé, oh,
oh ...
J嫎tais a
moureux
- - - -
- - - -
- - hum, hum
...