Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les bra
ises
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la fla
mme
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui s嫎teint
Contre l´amour qu´on prend,
qu´on tient mais qui tient p
as
Contre la trace qui s´efface
Je repars à la lutte
Contre les gravités
qui nous mènent à la c
hute
Pour faire du bruit encore
Pour rendre au crépuscule
La beauté des aurores
Dis-moi qu´on brûle e
ncore
cet espoir que tu tiens
Parce que tu n´en sais r
ien
Que je vo
is dans tes y
eux
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous ecoeure
A l´ombre du faisceau
Mon vieux, tu m´auras pl
us
Ami, dis, qu
and vi
endra la c
rue?
sont les contre-cultures
Au gré des émissions,
leurs gueules de vide-or
dures
Puisque c´en est sonné
Un peu plus équitables
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sa
ble
Dans ce triste pays
Tu sais, un jour ou l´
autre
Toujours surfer la vague
A l嫉me au creux des reins
Puisqu´ici, il n´y a
qu´au combat qu´on est l
ibre
je t´
en prie, libère-
toi
Puisqu´ici il faut faire
des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours
N´entends-tu pas ce soir
chanter le chant des mor
ts?
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les bra
ises
Comme un parfum de soufre
Qui fait naître la fla
mme
Contre la vie qui va, qui vient
Puis qui nous perd
Contre l´amour qu´on prend,
qu´on tient puis qu´on ente
rre
Contre la trace qui s´efface
Toujours surfer la vague
A l嫉me au creux des reins
Puisqu´ici, il n´y a
qu´au combat qu´on est lib
re
je t´
en prie, libère-
toi
Puisqu´ici, il faut faire
des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours
N´entends-tu pas ce soir
chanter le chant des m
orts
qui s
ont tombés pour t
oi?