Sans doute un peu les deux
Ton sourire, ma faiblesse
Je me suis dit : nous deux !
J´ai vu ce qui émane
De ta force fragile
Ton regard qu´enrubannent
Ton rire et tes sanglots
Tes boucles ottomanes
Et ton esprit agile
Qui jouent en filigrane
Lеs partition des mots :
J-e
t-apostrophe-a-i
-m-е
J-e
t-apostrophe-a-i
-m-e
Depuis que l´on se
connaît
Par terre ou dans un lit
Sur le coin d´une table
On en a fait des choses
C´était inévitable
Les léviathans enfouis
Les muses, etcetera
Ensemble on les oublie
J´ai pas toujours dit ça :
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Tu sais
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Depuis que l´on se connaît
Apprendre, apprendre encore
Tous les jours un peu plus
Sur les secrets du corps
Se secouer les puces
Le temps du b-a-ba
Chaque jour avec toi
J´en ai jamais assez
Mais rien n´est éternel
Et je ne sais que ça
Je sais ce que l´on est
Je sais ce que l´on a
Dans toutes les histoires
L´important n´est-il pas
De se souvenir toujours
D´avoir aimé comme ça ?
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Tu sais
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Depuis que l´on se connaît
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Tu sais
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Depuis que l´on se connaît
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Tu sais
J-e t-apostrophe-a-i-m-e
Depuis que l´on se connaît