Ô Carillon, je
te revois en
core
Non plus, hélas!, comme
en ces
jours b
énis
Où dans tes murs la
trompette so
nore
Pour te sau
ver nous a
vait réu
nis
Je viens à toi quand
mon â
me suc
combe
Et sent dé
jà son cou
rage fai
blir
Oui, près de toi ve
nant chercher ma
tombe
Pour mon dra
peau, je
viens i
ci mou
rir
Cet étendard qu´au grand jour de batailles
Noble Montcalm, tu plaças dans ma main
Cet étendard qu´aux portes de Versailles
Naguère, hélas!, je déployais en vain
Je le remets au champ où de ta gloire
Vivra toujours l´immortel souvenir
Et dans la tombe emportant ta mémoire
Pour mon dra
peau, je
viens i
ci- - - -
i mou
rir