Et si on
parlait d´autre
chose,
la nuit va refermer ses
bras
Je sais que
l´amour se
pose
au creux des herbes du delt
a
J´irai l´at
tendre, mais
reste, tout seul on ne l´approche
pas
J´irai l´at
tendre avec
toi
Vouloir v
ivre d´une gui
tare,
c´est souvent manger du pain
froid
Frapper aux
portes des
gares,
c´est souvent se briser les
doigts
La nuit s´al
lume, é
coute, c´est le vent qui demande tout
bas
À la
brum´de nous faire un d
rap
Mais
si tu
ne veux pas qu´il
vienne, l´ins
tant d´a
mour
Du poète qui
traîne sur les che
mins
Où seuls les
chiens et les loups se pro
mènent,
Si tu ne
veux pas qu´il
vienne, l´ins
tant de
joie
Du poète qui
t´aime, ne réponds
pas!
Il a la
nuit pour enterrer sa
peine
On a trop
parlé de vo
yages,
que j´allais chercher loin de
toi
Pour ce soir,
fais moi une
cage
avec la grille de tes
bras
La nuit s´al
lume,
écoute, c´est le vent qui demande tout
bas
À la
brum´de nous faire un d
rap
Mais
si tu
ne veux pas qu´il
vienne, l´ins
tant d´a
mour
Du poète qui
traîne sur les che
mins
Où seuls les
chiens et les loups se pro
mènent,
Si tu ne
veux pas qu´il
vienne, l´ins
tant de
joie
Du poète qui
t´aime, ne réponds
pas!
Il a la
nuit pour enterrer sa
peine
Si tu ne
veux pas qu´il
vienne, l´ins
tant d´a
mour... (Ad libitum)