Quand je vais revoir mon vieux grand-
père à Chicago
Il sort ses histoires son revolver,
son Borsalino
Et deux verres sur une
table
et mi-vrai mi
-fable
Il me raconte la prohibition
Alors moi je me vois près de lui
à Chicago
Jouant toute la nuit au casi
no
Alors moi je me vois près de lui
à Chicago
Tout le monde mappelle Frankie Borsali
no
Dans un vieux sous-sol près du palais, il se cachait
Fabriquait lalcool quil revendait au juge de paix
Un peu hors la loi, un rien de maffia
Voilà pourquoi il est toujours là
En mille neuf cent vingt quand il a quitté le pays
Cest, tellement le vin quil fabriquait était trahi,
A peine débarqué, sans savoir parler,
Cest de whisky quil sest occupé
Chi
cago
Chi
cago
Chi
cago.
.. (ad lib.)