Fini
/ le
temps du ba
ladin,
du sa
/ltim
banque et comé
dien
Le luth que tient le musi
cien vient de se taire entre ses
mains
La grande table déser
tée,
des ve
/rres
vides, des fleurs fa
nées,
Il est vrai que le clown est
triste
/ Quand le ri
deau
/ tombe en
fin
/
Les lu
mières se sont é
teintes
Toutes
/ les
fêtes ont une
fin
Ni les re
proche
/s,
ni les com
plai
/nt
es,
Ni les re
grets n´y
/ chan
geront
rien
Les flammes dans la cheminée tissent des ombres tourmentées
Déjà se lève le matin devant la fenêtre embuée
Le vin a voilé les esprits ; les rires se sont assoupis
Et le silence a envahi
La maison où nous étions gais
Les lumières se sont éteintes
Toutes les fêtes ont une fin
Ni les reproches, ni les complaintes,
Ni les regrets n´y changeront rien
Adieu, je m´en vais maintenant ; le baladin a fait son temps
Et ce n´est pas d´un coeur léger que je pose mon instrument
Si tu veux, pense à moi parfois ; et si tu préfères, oublie-moi!
Alors demain, je ne serai déjà
Qu´un souvenir lointain.
Les lumières se sont éteintes
Toutes les fêtes ont une fin
Ni les reproches, ni les complaintes,
Ni les regrets n´y changeront rien
Ni les re
proche
/s,
ni les com
plai
/nt
es,
Ni les re
grets n´y
/ chan
geront
rien
/