Il y avait des t
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Qu´je n´m´ét
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Qu´je n´mettais pas d´v
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orts, silenci
eux
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M
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lait sonn
er
C´est a
lors que j´ai
mal
tourn
é
N´y allant pas par quatre chemins
J´estourbis en un tournemain
En un coup de bûche excessif
Un noctambule en or massif
Les chats fourrés, quand ils l´ont su
M´ont posé la patte dessus
Pour m´envoyer à la Santé
Me refaire une honnêteté
Machin, Chose, Un tel, Une telle
Tous ceux du commun des mortels
Furent d´avis que j´aurais dû
En bonn´justice être pendu
A la lanterne et sur-le-champ
Y s´voyaient déjà partageant
Ma corde, en tout bien tout honneur
En guise de porte-bonheur
Au bout d´un siècle, on m´a jeté
A la porte de la Santé
Comme je suis sentimental
Je retourne au quartier natal
Baissant le nez, rasant les murs
Mal à l´aise sur mes fémurs
M´attendant à voir les humains
Se détourner de mon chemin
Y´en a un qui m´a dit: " Salut!
Te revoir, on n´y comptait plus"
Y´en a un qui m´a demandé
Des nouvelles de ma santé
Lors, j´ai vu qu´il restait encor
Du monde et du beau mond´sur terre
Et j´ai pleuré, le cul par terre
Toutes les larmes de mon corps