Souv
ent je pense à toutes c
es nuits
où j
´ai tenté de m´englou
tir
les y
eux brûlés par l´ins
omnie
le c
orps ivre de se d
étruire
dans
mes notes d´un souter
rain
je
repense à Svidrig
ailov
les a
mants et les assa
ssins
ont
souvent manqué d´un "my l
ove"
mais
peu importe
la sourate
ce q
ui doit être d
it est dit
si j´
dois m´écrouler sous
une batte
c´est
pas la faute à je n´
sais qui
les s
eules qui pourront
dire leur nom
sur l
´interphone des
solitudes
sont
celles qui m´auront fait l
eur don
du
regard noir des filles du
sud
elles
ont la tristesse silenc
ieuse
derri
ère la beauté d´un
sourire
et
puis se perdent en amo
ureuse
dev
ant l´idiot qui les fait
rire
et
soudain elles changent de déc
or
elles
deviennent l´ombre de l
eur lit
je
lis les lignes de leur
corps
en
en épousant les rep
lis
mais
peu importe
la sourate
ce q
ui doit être d
it est dit
si j´
dois m´écrouler sous
une batte
c´est
pas la faute à je n´
sais qui
les s
eules qui pourront
dire leur nom
sur l
´interphone des
solitudes
sont
celles qui m´auront fait l
eur don
du
regard noir des filles du
sud
plus
tard la méditerra
nnée
viend
ra troubler nos atti
tudes
le
vent laisse d´étranges
trainées
sur
les quais de nos certi
tudes
mais
la belle innamora
ta
est
une femme au corps al
longé
en
tre le doute et son ka
rma
ent
re ses formes et sa pens
ée
mais
peu importe
la sourate
ce q
ui doit être d
it est dit
si j´
dois m´écrouler sous
une batte
c´est
pas la faute à je n´
sais qui
les s
eules qui pourront
dire leur nom
sur l
´interphone des
solitudes
sont
celles qui m´auront fait l
eur don
du
regard noir des filles du
sud