C´est l´instant le plus
lourd
Les fenêtres sont
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vides
Elles viennent, les
rides
Il fait déjà presque
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froid...
Et le fond
de mon or
|gie
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Quatre heures du matin
C´est l´un des derniers verres
Dans les ombres étranges
Et les bouteilles vides
Il va falloir sortir
Dans cette rue humide
Là où le vieux malaise
Me fait presser le pas...
Quatre heures du matin
Et quelque part là-bas
Le soleil d´aube larmoie
Sur des champs inondés...
Je vais bientôt courir
Et me jeter vers toi
Je viens m´anéantir
Me sourire dans tes bras...
Et le fond
de mon or
|gie
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