Trop de larmes aux paupières, pour
justifier l´enfer
L´âme pure
vit dans ton cris,
que t´invoque que tu
pries
Regarde
bien loin dessous ton
petit lit d´enfant
Vois tu s
´accumuler la su
eur et le
sang ?
Allons
voir, allons croire
Allons
boire nos vingt ans ?
Allons
courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Toi qui
auras tout dit, moi qui ne peux prétendre !
Allons
voir, allons boire
Allons
croire nos vingt ans ?
Allons
courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Sur leur
linge sale, brandit la mort pour seul méandre
Je peux porter ta croix ? Je veux t´ai
der, assied toi
Goûte moi l´eau de la
source, attent
ion ! elle s´essou
ffle
Je me
rend à la foudre, où nos pu
tain sont des anges
On veut c
roire aux révoltes des dieux
Quand Satan
se fait passer
pour l´un d´eux
Allons voir, allons croire
Allons boire nos vingt ans ?
Allons courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Toi qui auras tout dit, moi qui ne peux prétendre !
Allons voir, allons boire
Allons croire nos printemps ?
Allons courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Sur leur linge sale, brandit la mort pour seul méandre
L´homme aura tout saigné, souillant jusqu´à son sein
Que nos dieux bénissaient, le bon lait récolté par les tiens
Je te donne des nouvelles, des nouvelles qui nous tuent, mon ami
Mon ami tu n´es plus dans la tombe, je t´envoie des nouvelles par les ondes
Allons voir, allons croire
Allons boire nos vingt ans ?
Allons courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Toi qui auras tout dit, moi qui ne peux prétendre !
Allons voir, allons boire
Allons croire nos printemps ?
Allons courons ensemble vers cette fin qui nous lie
Sur leur linge sale, brandit la mort pour seul méandre