Elle était as
sise en bas
des marc
hes com
me adossée à
sa vie
Sur ses joues quelques t
races d´un
e hi
stoire qui a mal fini
Elle
était assise
en bas du
monde à
éco
uter les seco
ndes
Qui résonnent sans rien
dire qui p
arle
nt même plus d´avenir
Elle atte
ndait atten
dait qu´un sourir
e vienne se pos
er
Au mi
lieu de ses rêves a
vant qu´la nuit l´e
nlève
J´ai cher
ché maladroit le fond de
son regard
His
toire de comprendre
son his
toire
Elle vi
vait comme une ombre que per
sonne ne dessine e
ncore
Elle m´a offert pendant quelques heures
Tous les battements de son ceuur,
Reconstruit en une nuit les châteaux d´ sable de sa vie.
Tout ce temps passé à apprendre
Les ruses pour pas se faire prendre,
A se débattre quand il pleut au hasard de drôles de jeux.
Elle riait, elle pleurait...
Sans que ses larmes ne coulent jamais.
Elle aurait tout donné pour un geste, un regard
Qui avaient tellement manqué.
Elle en parlait trop, même à demi-mot
Comme une gosse perdue qui cherche sa place sur la photo.
Elle avait l´coeur en
mille morceaux
et personne pour l´em
mener plus haut
Elle passait toutes ses
nuits ici
à attendre je n´sais
qui
Au creux de ces lits
de hasard e
lle cherchait des rais
ons d´y croire
L´humour comme dernière
politesse pud
eur de princes
se
Elle ét
ait assise en
bas des ma
rches com
me adossée
à sa vie
Devant mes yeux cette i
mage q
ui m´a si longtemps suiv
i
Elle
était assise
en bas des
marches