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Faudrait croire un peu les proverb
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Disent
pas toujours n´importe
quoi
Ad
ieu l´amour, bonjo
ur la mer
de
C´était pas un petit bonheur pépère
D嫎picerie ou de bar tabac
C嫎tait un bonheur grand comme la terre
Même plus grand qu´ça
Grand comme tous les volcans d´Auvergne
Comme un palais de Maharaja
Comme le trésor dans la caverne d´Ali-Baba
P´t´êt qu´il était devenu fragile
P´t´êt qu´il était trop grand pour moi
Peu importe, toujours est-il
Je l´voyais pas
Mon amour a claqué la porte
Mais j´étais pas du bon côté
Me v´là, pareil à une feuille morte
Sur le pavé
J´ai beau chercher auprès des potes
Le réconfort de l´amitié
Bientôt, z´en auront plein les bottes
De m´voir pleurer
Parce que dans ces cas là mon pote
Tu te fous de la dignité
Quand tu sais que tes amours sont mortes
A tout jamais
On reconnait le bonheur parait-il
Au bruit qu´il fait quand il s´en va
C´était pas le dernier des imbéciles
Celui qu´a dit ça
Mon bonheur s´est cru devoir partir
Après vingt berges de sous mon toit
J´ai plus qu´une envie, c´est d´mourir
Mais ça s´fait pas
Mon coeur ressemble à Tchernobyl
Et ma vie à Hiroshima
Pourtant y´a bien
pire que mour
ir
Pourtant y´a bien
pire que mour
ir