depuis le te
mps que tu radotes
et que tu va
s de porte en porte
avec tes
yeux noyés de br
ume
et tes ranc½
urs et tes rancune
s
et tes douce
âtres litan
ies
tu causes, tu c
auses, tu causes, tu causes
de la fra
gilité des roses
Je n´entends plu
s ce que tu
dis.
depuis le
temps que tu m´accables
J´ai envie d
´envoyer au diable
ton mal d´a
mour si mal gué
ri
tu pleures
sur un nom de
ville
et tu con
fonds pauvre imbé
cile
tu rêves, tu
rêves, tu rêves, tu rêves
Mais tes ar
bres n´ont plus de sève
et tes branc
hes n´ont plus de f
ruits
pardonne-
moi si j´en ai marre
de tes den
telles grises et noires
Il fait trop
triste par i
ci
je veux
entendre des o
rages
respirer
des jardins sau
vages
voir le
soleil et la
pluie
tu pleures, tu
pleures, tu pleures, tu pleures
Mais ce soir
je n´ai plus le coeur
de partag
er tes insom
nies
dans le
s bras d´une belle