Une sorte d´ivresse étrange
Qui cogne à ma fenêtre
Qui traîne dans mon
jardin
Et dans le coeur
des amoureux
Mais la chienne me prend au corps
Tempête encore
Dans ma prison d´
origine
Marchons quand
même ensemble
Et j´ai enfin touché la douceur
Du bout de mon rêve
Dans la pénombre de ton refuge
Jusqu嫈 l嫎moi
Je m嫎puiserai de
vant toi
Oubliant l嫎
trange et la chienne
Ahh
Ah
Ahh
Ah
Ahh
Ah A
hh A
h A
hh