J´suis le killeur, Mary Jane c´est la victime (yeah), à cause de sa couleur et d´son odeur addictive (brah) Ma face à la télé, ma voix dans les enceintes (yeah), sapé en noir et blanc comme un ancien (ouais) Ta montre au mono-prix d´une Renaud 5, nan ta montre vaut le prix d´un voyage en train (ha-ha-ha) L´ennemi me sert la main, sa femme me fait du pied, ouais avant j´étais du-per, maintenant j´vais pas m´laisser duper T´as pas écouté ta mère, ouais bah moi j´vais t´éduquer J´vais ramener qui-tu-sais, ouais ouais ce soir faut que tu saignes J´peux t´envoyer dormir comme si j´étais ton père J´me souviens plus de mes bagarres, j´me souviens plus de mes conquêtes
De toute façon c´est la même, c´est qu´une histoire de corps à corps Et comme dirait Mekra : "Il faut assumer ton sexe"
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t´enlèves ce joint d´tes lèvres et demande-toi pourquoi t´es loin d´tes rêves Loin d´tes rêves car l´État t´impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t´enlèves ce joint d´tes lèvres et demande-toi pourquoi t´es loin d´tes rêves Loin d´tes rêves car l´État t´impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Heureux de vivre, y s´peut que j´meurs demain, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein) Dans la vie, t´as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein) Heureux de vivre, y s´peut que j´meurs demain (yeah), les balles perdues ne demandent pas leur chemin (ouais) Dans la vie, t´as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (brah, brah, brah)
La vie c´est une pute, t´es bête, tu crois qu´elle t´aime, après t´avoir tirer dans les jambes, elle tire en pleine tête Y a des coupables qui s´baladent sur la Terre-Mère (oui), y a des innocents qui prennent perpète
Rien ne tire debout à part mes vertèbres, tu peux caner le jour de ton anniversaire (brah) Et même si t´as les poches remplis d´espèce, la solitude entraîne une mort quasi-certaine (bête) On chie du caviar, on pisse du Moët, on porte nos cojones dans des brouettes (ha-ha-ha) Jamais tu n´atteindras le crew-S (lève la main), on fait la sieste sur le Piton de la Fournaise
Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t´enlèves ce joint d´tes lèvres et demande-toi pourquoi t´es loin d´tes rêves Loin d´tes rêves car l´État t´impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités Hein belek, ne te questionne pas sur ton intellect, t´enlèves ce joint d´tes lèvres et demande-toi pourquoi t´es loin d´tes rêves
Loin d´tes rêves car l´État t´impose sa réalité, il te trouve des défauts dans ce qui peut être des qualités
Heureux de vivre, y s´peut que j´meurs demain, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein) Dans la vie, t´as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (hein, hein) Heureux de vivre, y s´peut que j´meurs demain (yeah), les balles perdues ne demandent pas leur chemin (ouais) Dans la vie, t´as faim quand tu pars de rien, les balles perdues ne demandent pas leur chemin (brah, brah, brah)