Mais j´ai l´cœur foutu, comment l´garder J´rêve du ciel et j´m´endors par terre, et y´a qu´moi qui m´attendais quand je r´partais, j´attends qu´la chanson m´connaisse par cœur La chance elle a tourné moins que l´tard-pé, la p´tite voix m´répète « je sais qu´t´as peur (peur) »
La confiance abimée tout comme ta paire
Et j´rêve du [sale/seul/seum ?], j´le simule avec du son Depuis gamin j´rêve du ciel, j´le dessine avec du sang J´aime la douleur quand elle tue ça, l´espoir, et tous les rêves qui sonnent faux J´traîne, et j´revends l´truc qui sent fort Si j´avais su que j´m´enfoncerais, j´aurais quand même tout r´fait comme ça Parce que c´est à moi Ces peines et ces joies c´est à moi Cette année j´ai pleuré à mort Et cette année bah j´ai cru en moi C´était pas à tort, et j´dois rien à personne si c´n´est à toi T´as seul´ment écouté un peu, et aujourd´hui j´me sens en vie (vie, vie)
Comme si j´comblais un vide (vide, vide) Comme si j´roulais un pers, comme si j´traînais en ville (ville, ville) Comme si j´avais une mère, comme si j´retrouvais l´sommeil, fils de-, comme si j´voyais mon père Comme si j´étais au sommet, fils de-, comme si j´quittais la Terre
Et aujourd´hui j´me sens en vie (vie, vie) Comme si j´comblais un vide (vide, vide) Comme si j´roulais un pers, comme si j´traînais en ville (ville, ville) Comme si j´avais une mère (Comme si j´avais une mère)