Ok, han, j´ai parlé d´amour, et j´ai parlé d´rue La vie d´un jeune Nègre entre les femmes, les ´blèmes, les histoires de cul Ouais, j´ai fumé ma merde, j´vais zoner en ville
Ma jeunesse prend la tête, on se la pète mais tous des zombies Traînant drôles de combines, tu connais nos vies, my man Certains ont pris d´la taule, d´autres sont restés chez leur mère J´te l´jure sur la vie d´ma tchoin Demain, j´pète le million d´euros, j´quitte le coin Besoin d´oseille, besoin d´love J´aime pas trop les putes, faut qu´j´arrête la drogue
J´ai flingué ma santé, Renoi, c´est comme ça On a fait des choix d´merde ; la foi, elle n´est pas là Au loin, j´vois la [?trois huit?] qui tourne pour mes lascars
Pas d´thune pour un Vélib´, on est loin d´la Maybach J´veux arrêter l´bédo, c´est pas des blablas En bas, dans le métro, j´pense à la mama Mate un peu ma disco´, plus fort que tes gavas Pas rempli le frigo, normal, tu n´es pas là
Je ne sais que parler d´moi Pourtant, ça sert à que dalle J´suis défoncé tous les soirs J´aime quand elles traînent dans mon plumard
Han, j´ai croisé des chics types, j´ai croisé la vermine On est fier par principe ; des fois, j´ai une p´tite mine Ouais, quitter l´béton, finir en maillot d´bain Ne jamais compter et voir ses frérots pleins, ne jamais avoir à faire aux flingues
Bah ouais, c´est la vraie vie, ici Vice dans l´crane, femme sous les draps, un peu d´illicite Han, on s´réjouit de pas grand-chose Renoi, parle en flouze, y´a peu d´grandes causes On ride encore quand la nuit s´couche J´roule deux grands cônes
J´ai flingué ma santé, Renoi, c´est comme ça On a fait des choix d´merde ; la foi, elle n´est pas là Au loin, j´vois la [?trois huit?] qui tourne pour mes lascars Pas d´thune pour un Vélib´, on est loin d´la Maybach J´veux arrêter l´bédo, c´est pas des blablas En bas, dans le métro, j´pense à la mama Mate un peu ma disco´, plus fort que tes gavas
Pas rempli le frigo, normal, tu n´es pas là
Je ne sais que parler d´moi Pourtant, ça sert à que dalle J´suis défoncé tous les soirs J´aime quand elles traînent dans mon plumard