Outside it´s nighttime and you´re mine again Red lights and thick frost are clothing all the land Your breath draws a cloud on the window of our car
Our eyes exhausted, still begging for more Engraved in wildness, have we gone too far ? Somewhere four wheels unwind the roar of their power This road is a snake skin, glittering and bald Like a reptile, that gash the frozen soil
The world is not ours But faster than the rain We cut the night We´re random bullets, love Shot by some drunken god Guilty only, of growing old
Hours like fires, burning our beliefs Soon the sun will rise up and sew us in its dreams Forgetting that we´re sailors, without wind in our sails
Twins by the heartbeat until the morning brakes Dismissed in dizziness, and begging for more Have we ever noticed that nothing last for ever ? Faces toward the sky, ´cause the unknown is sublime Printing every hour in polaroids of mine
The world is not ours But faster than the rain We cut the night We´re random bullets, love Shot by some drunken god Oh guilty only, oh guilty only Of growing old, of growing old Of growing old, of growing old Of growing old
Hours like fires, burning our beliefs
Truth is right there baby, even if we bleed Night roads are coal coats on the muscles Of the world, leading us to nowhere ´Cause nowhere is our home Nowhere is our home Oh guilty only, of growing old
We´re random bullets, love The world is not ours But faster than the rain We cut the night
We´re random bullets, love The world is not ours But faster than the rain We cut the night
Traduction
Dehors il fait nuit et tu es mienne à nouveau Lumières rouges et givres épais sont les vêtements de la terre Ton souffle dessine un nuage à la fenêtre de notre voiture
Nos yeux fatigués, continuent de mendier d´avantage Gravé dans la violence, sommes-nous allés trop loin ? Quelque part quatre roues rugissent de leur pouvoir Cette route est une peau de serpent, étincelante et lisse Comme un reptile, qui entaille le sol gelé
Ce monde ne nous appartient pas Mais plus rapide que la pluie Nous coupons la nuit Nous sommes des balles aléatoires, l´amour Tirés par un certain dieu ivre Seul coupable, de la vieillesse
Les heures comme du feu, brûlent nos croyances
Bientôt le soleil se lèvera et nous coudra dans ce rêve Oubliant que nous sommes des matelots, sans vent dans les voiles Jumeaux pour les battements du cœur avant que le matin ne freine Rejeté dans les vertiges, et demandant plus Avons-nous jamais remarqué que rien ne dure éternellement ? Faces vers le ciel, car l´inconnu est sublime Imprimant chaque heure par mon polaroid
Ce monde ne nous appartient pas Mais plus rapide que la pluie Nous coupons la nuit Nous sommes des balles aléatoires, l´amour Tirés par un certain dieu ivre Seul coupable
De la vieillesse De la vieillesse
Les heures comme du feu, brûlent nos croyances La vérité est là, même si nous saignons Routes de nuit sont les couches de charbon sur les muscles Du monde, nous menant vers nulle part Parce que nulle part est notre maison Nulle part est notre maison Oh seul coupable, de la vieillesse
Nous sommes des balles aléatoires, l´amour Ce monde ne nous appartient pas Mais plus rapide que la pluie Nous coupons la nuit
Nous sommes des balles aléatoires, l´amour
Ce monde ne nous appartient pas Mais plus rapide que la pluie Nous coupons la nuit