Death hue falling on the faces of the streets lost children as the mortar fire broken in Nights cold, slipping through the cracks, breaking through the walls of crumbling plaster Hunger gnaws, I can feel its claws, but the pain of a bullet would burn much hotter
In the spot light mounted on the cannon of the tank that prowls
Holy war, oh deliver me, rest my fear, I cannot see
Nameless, but I know the faces of the kids I slept in Jezebel´s lair with Thoughtless, breaking my bread ‘tween the mine fields flowers and gullies with daisies Some times I can find some rations that a solider let fall when the wind or life left him Some times I can find a gun or a pistol or a knife to use
Holy war, oh deliver me, rest my fear, I cannot see My eyes are blind, my body is lame, my family is gone
In my god´s name, Holy Wars
Nameless, faceless, but a tear or a dollar won´t buy my justice Fearless, clothed less, then a war torn child should sleep or focus Once I watched as a cannon slot fell through the stained glass window of a church on my street Once I sat on a steeple now laying in the church yard’s playground
Holy war, Holy war, oh deliver me, oh deliver me Rest my fear, rest my fear, I cannot see, I cannot see My eyes are blind, holy war, my body is lame Oh deliver me, my family is gone, rest my fear In my god´s name, I cannot see Holy Wars
Holy war, oh deliver me, rest my fear, I cannot see Holy war, oh deliver me, rest my fear, I cannot see
Traduction
Une nuance de mort a voilé les rues, déroutant les enfants, brisés, comme le tir du mortier lors de Ces froides nuits, qui glissent à travers les fissures, et se brisent dans les murs de plâtre, qui s’effritent
La faim me ronge, je peux sentir ses ongles, mais la douleur d’une balle me brûlerait bien plus Si j’étais dans la lumière du projecteur monté sur le canon du tank qui rôde
Guerre sainte, oh délivre-moi, endors ma peur, je n’arrive pas à voir
Je n’ai pas de nom mais je connais les visages des enfants avec lesquels j’ai dormi dans la tanière de Jézabel Entre les fleurs des champs de mines et les ravins de pâquerettes, je partage mon pain sans réfléchir Parfois je peux trouver des rations qu’un soldat a laissé tomber, lorsque le vent ou la vie l’a abandonné D’autres fois je peux trouver un révolver, ou alors un pistolet, ou encore un couteau à utiliser
Guerre sainte, oh délivre-moi, endors ma peur, je n’arrive pas à voir Mes yeux sont aveugles, mon corps est faible, ma famille est partie Des Guerres Saintes, au nom de mon dieu
Je n’ai ni nom, ni visage, mais ni un dollar ni une larme ne pourrait acheter ma justice Je suis téméraire, et nu, malgré qu’un enfant déchiré par la guerre devrait pouvoir dormir ou faire le point Je me rappelle avoir une fois vu un boulet de canon s’écraser dans les vitraux d’une église de ma rue Une autre fois, je me suis assis sur un clocher qui est maintenant par terre dans la cour de l’église
Guerre sainte, guerre sainte, oh délivre-moi, oh délivre-moi Endors ma peur, endors ma peur, je n’arrive pas à voir, je n’arrive pas à voir Mes yeux sont aveugles, guerre sainte, mon corps est faible Oh délivre moi, ma famille est partie, endors ma peur Je n’arrive pas à voir de Guerres Saintes au nom de mon dieu
Guerre sainte, oh délivre-moi, endors ma peur, je n’arrive pas à voir Guerre sainte, oh délivre-moi, endors ma peur, je n’arrive pas à voir