J’ai des souvenirs de soirs d’été Au pays béni de mon enfance On se retrouvait au « Grand Café »
Au jardin sur la piste de danse
Et dès que les lampions s’allumaient D’un sourire on faisait connaissance Car bien sûr les gens se saluaient Mais c’est un détail sans importance
Y avait les dauphins qui jouaient Y avait les parents qui dansaient Et les amis levaient leur verre au ciel Y avait les enfants qui couraient Entre les jupes qui volaient Et c‘est vrai nous n’avions jamais sommeil
Et tant d’amour et tant d’amour Et la vie promettait monts et merveilles Et tant de joie, ah cette joie! Allez savoir pourquoi plus rien n’est pareil
Pourquoi direz-vous tant d’amertume ? Cette nostalgie de vieux largué Qui met encore son plus beau costume Pour se promener dans son passé
Nous n’avions pas mesuré notre chance Nous pensions que le rêve allait durer Mais ce bonheur dont nous faisions bombance Nous aurions tant aimé vous le léguer
Y avait les dauphins qui jouaient Y avait les parents qui dansaient Et les amis levaient leur verre au ciel Y avait les enfants qui couraient Entre les jupes qui volaient Et c‘est vrai nous n’avions jamais sommeil
Et tant d’amour et tant d’amour Et la vie promettait monts et merveilles Et tant de joie, ah cette joie! Allez savoir pourquoi rien n’est plus pareil Et tant d’amour et tant d’amour Et tant de joie, ah cette joie!