la pierre qui s’émiette en mottes le désert qui se blute en blé le jour qui s’épelle en oiseaux le forçat l’esclave le paria la stature épanouie harmonique
la nuit fécondée la fin de la faim
du crachat sur la face et cette histoire parmi laquelle je marche mieux que durant le jour
la nuit en feu la nuit déliée le songe forcé le feu qui de l’eau nous redonne l’horizon outrageux bien sûr un enfant entrouvrira la porte…