Hommes tant pis qui ne vous apercevez pas que mes yeux se souviennent de frondes et de drapeaux noirs qui assassinent à chaque battement de mes cils
Hommes tant pis qui ne voyez pas qui ne voyez rien pas même la très belle signalisation de chemin de fer que font sous mes paupières les disques rouges et noirs du serpent-corail que ma munificence love dans mes larmes
Hommes tant pis qui ne voyez pas qu’au fond du réticule où le hasard a déposé nos yeux il y a qui attend un buffle noyé jusqu’à la garde des yeux du marécage
Hommes tant pis qui ne voyez pas que vous ne pouvez
m’empêcher de bâtir à sa suffisance des îles à la tête d’œuf de ciel flagrant sous la férocité calme du géranium immense de notre soleil.