Rompue. Eau stagnante de ma face sur nos naissances enfin rompues. C’est entendu, dans les stagnantes eaux de ma face,
seul, distant, nocturne, jamais, jamais, je n’aurai été absent.
Les serpents ? les serpents, nous les chasserons Les montres ? les monstres – nous mordant les remords de tous les jours où nous ne nous complûmes – baisseront le souffle, nous flairant.
Tout le sang répandu nous le lécherons,
en épeautres nous en croîtrons, de rêves plus exacts, de pensées moins rameuses. Ne soufflez pas les poussières, l’anti-venin en rosace terrible équilibrera l’antique venin ;
ne soufflez pas les poussières ; tout sera rythme visible, et que reprendrions-nous ? pas même notre secret. Ne soufflez pas les poussières une folle passion toujours roide étant ce par quoi tout sera étendu, ce seront plus que tout escarboucles émerveillables pas moins que l’arbre émerveillé arbre non arbre
hier renversé
et vois, les laboureurs célestes sont fiers d’avoir changé ô laboureurs labourants en terre il est replanté le ciel pousse il contre-pousse
arbre non arbre bel arbre immense le jour dessus se pose oiseau effarouché