De verre de ponces de vols épars d’oiseaux à travers la dentelle hurlant toute île est des Telchines
féroces tourneurs en rond Alors chevauchant l’étincelle que les fées entrelacent leurs cerceaux de palombes
Dressée à les frapper au mufle et les faire reculer je ne vois que toi en face des monstres jaillie
Toi contre les cyclones toi contre la vague dévorante toi contre l’avancée des volcans et leur alerte de pieuvres toi contre les malebêtes de la nuit toi les défiant d’un geste plus fou l’outrage et le prodige
toi toi toi Grande ombre tendre hagarde d’un dernier et tutélaire regard