Cette maison trop vide et trop grande sans toi Où tout résonne encore en souvenir de toi Mais tu n´es plus qu´une ombre à l´ombre de mes joies Et ma raison s´égare dès qu´il s´agit de toi
Et parfois je m´enivre et je pleure tout bas Dans cette maison vide et trop grande sans toi
Moi, j´aimais trop ton rire et j´aimais trop ta voix Et je cours à la porte au moindre bruit de pas Mais le vent se déchaîne et ricane sur moi Et je ferme la porte et je n´ai plus le choix Que de prendre ma source aux parfums d´autrefois Ou fuir la maison vide et trop grande sans toi
Dans cette maison vide te reverrais-je toi Toi qui fus mon empire et toi qui fus mes joies Oui, bien souvent je rêve et je ris aux éclats Te maudissant toujours et t´espérant parfois Je rêve à d´autres rêves et je t´aime déjà Dans la maison trop vide et trop grande sans toi