Sur l´esplanade Dessous les platanes Depuis deux heures Attendant qu´elle vienne Je sens dans mes veines
Battre mon cœur Chaque seconde Des mèches blondes Perdues dans le lointain Me font croire qu´elle arrive enfin
Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être bien Avec elle, c´est toujours peut-être On n´est jamais sûr de rien Chaque instant, j´espère et je guette Pour un signe de sa main Avec elle, c´est toujours peut-être Mais j´oublie tout quand elle vient Chaque soir, combien de roses j´ai laissées là Sur le banc de bois Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être
Et pourtant
Pourtant je l´aime
Quand il arrive Que, mort de fatigue J´attends encore Mes yeux se ferment Sur le banc de chêne Et je m´endors Je me réveille Dans la lumière Et je rentre au matin En rêvant qu´elle viendra demain
Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être bien Avec elle, c´est toujours peut-être
On n´est jamais sûr de rien Chaque instant, j´espère et je guette Pour un signe de sa main Avec elle, c´est toujours peut-être Mais j´oublie tout quand elle vient Chaque soir, combien de roses j´ai laissées là Sur le banc de bois Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être Et pourtant
Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être bien Avec elle, c´est toujours peut-être On n´est jamais sûr de rien Chaque instant, j´espère et je guette Pour un signe de sa main Avec elle, c´est toujours peut-être
Mais j´oublie tout quand elle vient Chaque soir, combien de roses j´ai laissées là Sur le banc de bois Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être Et pourtant
Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être bien Avec elle, c´est toujours peut-être Mais j´oublie tout quand elle vient Chaque soir, combien de roses j´ai laissées là Sur le banc de bois Avec elle, c´est toujours peut-être C´est toujours peut-être Et pourtant