Sa robe était de tulle avec des roses pâles, Et rose pâle était sa lèvre, et ses yeux froids, Froids et bleus comme l´eau qui rêve au fond des bois.
La mer Tyrrhénienne aux langueurs amicales.
Berçait sa vie éparse en suaves pétales. Très douce elle mourait, ses petits pieds en croix ; Et, quand elle chantait, le cristal de sa voix Faisait saigner au coeur ses blessures natales.
Toujours à son poing maigre un bracelet de fer, Où son nom de blancheur était gravé