Une fois de plus comme l’exige le personnage, je suis seul et j’ai froid. Froid car je suis tout nu mais aussi je suis en nage car j’ai peur que l’autre m’entrevoie.
Le Ringard du placard, l’amant dans la penderie, celui dont on se marre, celui dont on se rit et je promets à tous ceux qui portent cornes de bois que mieux vaut être comme eux que comme moi.
Une fois de plus ainsi que le veut l’usage, il ne se peut pas que je termine la modeste besogne mais langoureux outrage que la maîtresse et son amant signent. Digne de la plus minable pièce de boulevard, je l’entends, je me lève, et je vais au placard
Le Ringard du placard, l’amant dans la penderie, celui dont on se marre, celui dont on se rit et je promets à tous ceux qui portent cornes de bois que mieux vaut être comme eux que comme moi. (bis)
Le Ringard du placard, l’amant dans la penderie, celui dont on se marre, celui dont on se rit et je promets à tous ceux qui portent cornes de bois que mieux vaut être comme eux que comme moi. (bis)
Mais là je suis inquiet cela fait bien quatre jours que je pends mollement sur mon cintre