Déesse aux yeux d´azur, aux épaules d´albâtre, Belle muse païenne au sourire adoré, Viens, laisse-moi presser de ma lèvre idolâtre Ton front qui resplendit sous un pampre doré.
Vois-tu ce vert sentier qui mène à la colline ? Là, je t´embrasserai sous le clair firmament, Et de la tiède nuit la lueur argentine Sur tes contours divins flottera mollement.