C’est une rue qu’on descend, ouverte sur le ciel, s’y mêlent, monuments, épiceries et marchands, on y vit, on y vend, on y boit tout l’temps, c’est la rue chaleureuse, on y bat le
pavé à coeur battant, on en déménage mais on y revient tout l’temps, revoir le coeur serré ces visages griffés, quand s’arrête de tomber les piscines du ciel, le rideau s’lève, ils sortent comme d’outre-tombes, le rideau s’lève, se serrer le gosier, le rideau s’lève, leur histoire en train d’agoniser, le rideau s’lève, notre histoire va commencer...