Elle avait des bagues à chaque doigt, Des tas de bracelets autour des poignets, Et puis elle chantait avec une voix, Qui sitôt m’enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d´opales, Qui m´fascinait, qui m´fascinait, Y´avait l´ovale d´son visage pâle, Deux femmes fatales qui m´fut fatale, Deux femmes fatales qui m´fut fatale.
On s´est connu, on s´est reconnu, On s´est perdu d´vue, on s´est r´perdu d´vue, On s´est retrouvé, on s´est réchauffé, Puis on s´est séparé.
Chacun pour soi est reparti, dans l´tourbillon d´la vie, Je l´ai r´vue un soir aïe, aïe, aïe, Sa fait déjà un fameux bail, Sa fait déjà un fameux bail.
Au son des banjos je l´ai reconnue,
Ce curieux sourire qui m´avait tant plus, Sa voix si fatale, son beau visage pâle, M’emmure plus que jamais.
Je m´suis saoulé en l´écoutant, L´alcool fait oublier le temps, Je m´suis réveillée en sentant, Des baisers sur mon front brûlant, Des baisers sur mon front brûlant.
On s´est connu, on s´est reconnu, On s´est perdu d´vue, on s´est r´perdu d´vue, On s´est retrouvé, on s´est séparé, Puis on s´est réchauffé.
Chacun pour soi est reparti, dans l´tourbillon d´la vie, Je l´ai r´vue un soir ha la la
Elle est retombé dans mes bras, Elle est retombé dans mes bras.
Quand on s´est connu, quand on s´est reconnu, Pourquoi s´perdre de vu, se reperdre de vue, Quand on s´est retrouvé, quand on s´est réchauffé, Pourquoi se séparé.
Alors tout deux on est r´parti, dans l´tourbillon d´la vie, On a continuer à tourné, tout les deux enlacés, Tout les deux enlacés, Tout les deux enlacés.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Jeanne Moreau