Tout là-bas vers la rivière, Où s´en vont boire les troupeaux, Le cow-boy voit dans les pierres, Les cabanes d´Alamo. Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau, Et les feuilles des arbres bougent, Dans le calme d´Alamo. Car le vent qui se rappelle, Vient toujours chanter là-haut, Ah, garçon qu´elle était belle, La ballade d´Alamo.
Davy Crockett t´en souviens-tu ? C´était le temps des longs fusils. Capt´ain Dick´son t´en souviens-tu ? Tu venais du Tennessee
Au village d´Alamo Passe la rivière, Les soldats et leurs chevaux, Dorment, dorment près de l´eau. Les soldats font la guerre,
Les indiens des couteaux Et pourtant la rivière Fait chanter, fait chanter Alamo.
Un soldat aux yeux d´enfants, Pleure et se réveille. Il n´a pas encore seize ans, Il ne sera pas sergent. Les soldats font la guerre, Les indiens des couteaux, Et pourtant la rivière Fait chanter, fait chanter Alamo
On a fait un feu géant, Plumes et tuniques Et le diable fuit dedans Sur le dos d´un cheval blanc. Et le vent quand il passe,
Et le vent voit toujours, Des amis qui s´embrassent Et qui chantent le temps de l´amour.
Au village d´Alamo Que la vie est douce, Les guerriers veillent leurs troupeaux, Et les femmes les berceaux. L´horizon se repose, Et l´on dit que la nuit, Une étoile se pose, Dans les bras, d´un soldat, endormi...
Tout là-bas vers la rivière, Où s´en vont boire les troupeaux, Le cow-boy voit dans les pierres, Les cabanes d´Alamo. Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau, Et les feuilles des arbres bougent, Dans le calme d´Alamo. Car le vent qui se rappelle, Vient toujours chanter là-haut, Ah, garçon qu´elle était belle, La ballade d´Alamo.
Ah, garçon qu´elle était belle, La ballade d´Alamo.