Fais ce que tu veux, désormais. Va-t-en, reviens, ne viens jamais ! - Mon coeur, qui lentement déchoit, Fait semblant de t´offrir ce choix; Pourtant, je sais bien, tu le penses !
Que tu n´as nulle obéissance
- Je devrais, en ces sombres jours, Songer aux poignantes amours Qu´en des fronts plus purs je suscite. Mais il n´est pas de réussite Contre ces guerriers bien armés Qui, massés dans mon coeur qui rêve, Sans égards, sans pitié, sans trêve, Me contraignent tous à t´aimer