J´ai vraiment vécu des jours-tels, Si longs, si lourds par la souffrance, Que je songe avec complaisance Que rien d´humain n´est immortel !
N´être plus ! ni moi, ni toi-même ! Oui, ni toi ! par qui j´ai connu L´horreur de craindre ce qu´on aime ! - Ignorer combien tu m´as plu, Et que tu fus l´homme suprême Par qui tout autre était exclu,