Titre : Peut-être que ton corps charmant, qui me tourmente
Peut-être que ton corps charmant, qui me tourmente Par la grâce des mains, des lèvres et de l´oeil, Établit en moi seule une saison démente
Où l´instinctif élan est grave comme un deuil. Je l´ai lu dans un juste et saisissant recueil: La beauté de l´amant n´est qu´au coeur de l´amante C´est donc moi qui te fais un excessif accueil ! - Alors, pourquoi ce rare et précis esclavage ? Mais mon mal est sacré puisque le sort le veut ! Et c´est mon besoin fol comme mon besoin sage De préférer au monde un seul de tes cheveux !