Sans regrets, crois-moi, sans effroi, Je vais mourir. Je meurs de froid. Je ne sens plus bien ta chaleur. On ne peut pas lutter sans cesse; Mon esprit contre ta paresse
Se brise. C´est toi le vainqueur. Je sens s´éloigner de mon coeur Cette image immense et précise De ta personne errante, assise, Et qui m´enchantait de stupeur Excuse ma voix qui s´épuise, Je te parle encor.