Tu m´enchantes, je te supporte; Songe combien ce mot est doux! J´abdique quand je deviens nous, J´accepte d´être cette morte;
Ton charme, moins doux que tes torts, A dispersé ma solitude; C´est te préférer à mon sort, À ma vie, à son amplitude, Que de constater sans remords. Ce suave et secret accord Par qui tout l´univers s´élude