Les migrateurs Les grands voyageurs Ils savent toujours quand c´est l´heure D´aller retrouver la chaleur Une boussole dans le cĹur
Vois les cigognes s´envolent Il faudra qu´on se console Car l´hiver est là Leur nid va nous sembler vide J´espère qu´il est solide Et qu´il durera A une date connue d´elles Elles reviendront fidèles Avec le printemps On m´a dit que leur prÊsence Est un beau signe de chance Et je les attends
Les migrateurs Les grands voyageurs Ils savent toujours quand c´est l´heure D´aller retrouver la chaleur Une boussole dans le cĹur
Regarde bien le rivage Il est couvert d´oies sauvages Il en est tout blanc Elles sont posĂŠes pèle mĂŞle Pour se reposer les ailes Mais avant longtemps Sur un invisible signe Elles formeront des lignes Et s´envoleront Nous regarderons leurs traces Jusqu´à ce qu´elles sâeffacent Derrière l´horizon
Les migrateurs Les grands voyageurs Ils savent toujours quand c´est l´heure D´aller retrouver la chaleur Une boussole dans le cĹur
Avant que le lac ne gèle Les grands plongeons qu´on appelle Aussi des huards S´en iront pour que la glace Leur laisse encore la place De prendre leur dÊpart Mais aux beaux jours sans problème Ils seront là les deux même Prêt a faire leur nid Prêt a couver a instruire Pour le meilleur et le pire Toujours deux petits
(x2) Les migrateurs Les grands voyageurs Ils savent toujours quand c´est l´heure D´aller retrouver la chaleur