Tout dans l´cœur, rien dans les poches, ma mort pour la vie d´un proche Je crie à l´aide, toi, tu décroches, quand tout va bien, moi, je raccroche
C´était tout les jours une nuit de noce, nostalgie sera précoce Enfants d´la lune ou albinos, yeux revolver : Kalashnivov L´cœur dans l´œil ou dans la main, vérité dites sans le sérum Trop perdu pour être à Rome la vie perd de tous ces arômes Blanc comme nuit, rouge comme rose, trou dans l´cœur, couche d´ozone Est-c´que j´changerai la vie d´mes mômes ? Est-c´que j´finirai comme la môme ?
La nuit, je parle aux cieux, la nuit, j´me parle a moi Des fois, j´ai peur du ciel, des fois, j´ai peur de moi La nuit, je parle aux cieux, la nuit, j´me parle a moi
Des fois, j´ai peur du ciel, des fois, j´ai peur de moi
J´ai subi tellement d´naufrages, des désillusions et des mirages Lis les blessures sur mon visage, tout s´efface comme les sillages J´ai subi tellement d´naufrages, des désillusions et des mirages Lis les blessures sur mon visage, tout s´efface comme les sillages
Pour m´arracher c´que je ressens, faudrait m´passer sur le corps J´suis mort mais j´me sens vivre, j´me sens mal mais j´me sens libre On m´dit qu´le temps soigne les plaies mais comprennent pas qu´j´ai l´cœur ouvert
J´lui avais dit jusqu´à la mort, elle m´ignore encore plus fort Un coup d´tonnerre, un sursaut et je me tais Tu me manques mais avant, il faut qu´je m´aime Le cœur qui pleure et les nuages qui saignent Le vent souffle fort et j´le prends comme un signe
La nuit, je parle aux cieux, la nuit, j´me parle a moi Des fois, j´ai peur du ciel, des fois, j´ai peur de moi La nuit, je parle aux cieux, la nuit, j´me parle a moi Des fois, j´ai peur du ciel, des fois, j´ai peur de moi
J´ai subi tellement d´naufrages, des désillusions et des mirages
Lis les blessures sur mon visage, tout s´efface comme les sillages J´ai subi tellement d´naufrages, des désillusions et des mirages Lis les blessures sur mon visage, tout s´efface comme les sillages