Mumbly : Awakejeakwakwakejeebaskeobekoyé Annie : D´où sort-il, celui-là ? Ursul : C´est Mumbly, le plus formidable des lieutenants de police Mumbly : bonjiou youmblahehe
Ursul : Oh, tu peux l´appeler Annie, tu sais. Elle est très gentille Mumbly : Akrekejewawaboublé ékouléhéwake Ursul : Mais non, Mumbly, elle n´a pas de problèmes... Il te propose Annie : Ah, j´ai compris, j´ai compris, j´ai compris Ursul : Oh ben c´est bien, ça. Parce que d´habitude, eh ben... Mumbly : Abouchéavekomenché Ursul : Tu sais bien que quand tu parles... Mumbly : Abjiyékomenkjevou oyé ! Ursul : Mais bien sûr que tu sais parler. Seulement tu as ta façon à toi de parler. Mumbly : Hekegebebesudepalé Annie : Allons, vous n´allez pas vous disputer ! Mumbly : Hokogoyokokosékeodjoedvé énie
Annie : Ah bon ! Parce que vous êtes parents tous les deux ? Ursul : Bien sîr, comme avec Hong Kong Fou Fou. On n´est pas tout à fait d´ la même race mais on est cousins Inspecteur Schnock : Ah, enfin, lieutenant Mumbly ! Mumbly : Hokéjiouko ? Inspecteur Schnock : Je vous cherche partout Ursul : Tiens, Annie, tu connais l´inspecteur Schnock Inspecteur Schnock : Oui, oui, oui, nous nous sommes euh, comment dirais-je, rencontrés à la télévision. Vous êtes toujours, comment dirais-je, bonne de curé ? Mumbly : Ohbê ! Oyabedèoyabédèducuré oyédoyécredi oyéjeve Inspecteur Schnock : J´ suis, moi je, comment dirais-je, je croyais...
Annie : Il n´y a pas d´ mal Inspecteur Schnock:Venez, lieutenant Mumbly Mumbly : Hoho yakediyakedihoho hahe Inspecteur Schnock : On vient de m´informer que le maire a reçu une lettre anonyme le prévenant que si, comment dirais-je, ce soir... Ursul : Il est vraiment schnock, ce Schnock. Il veut faire croire qu´il est au courant de tout, qu´il connaît tout l´ monde et à tous les coups il se plante.