Je reviens d´un pays Pays, pays Beau comme una passionne On danse le tango le jour, la nuit Que c´en est monotone
Dès que tu dis un mot À la moindre parole Y a toujours un gaucho Qui chante aussitôt (Poèma, poèma)
À la première fois On se dit que, ma foi La chanson est jolie Et charmant le pays (Poèma, poèma) Mais pour les arrêter Là tu peux tout essayer T´en as pour la journée Eh, allez !
(Olé, olé) Mi amore
(Olé, olé) Mi dolore (Olé, olé) Ma peña Olé et voilà
Tu vois ces pays-là Là-bas, là-bas Sont pleins de déception-o-ne Et le cœur des gauchos Crois-moi, crois-moi N´est qu´un bandonéon-o-ne
Dès qu´un tango finit Un autre recommence Et du soir au matin Toujours le refrain
(Poèma, poèma) Oh, les gars, j´ préfère la Madelon, hein !
Sur l´air des lampions Ou alors un beau cha-cha-cha du melon, hein ! Poèma, poèma)
Sans jamais se lasser Et sans rien espérer Encore il faut danser Eh, allez !
(Olé, olé) Mi amore (Olé, olé) Ah, mi dolore ((Olé, olé) Ma peña Olé et voilà Olé ! (Olé, olé) Sans arrêt, il n´y a que ça (Olé, olé) J´ suis fatiguée (Olé, olé) Oh, j´ai sommeil ! Et puis j´en ai marre !