Rangez les bouteilles ou j’vais tout piller… Feu l’marchand d’sable, aux abois j’bois l’incendie pour roupiller. Changez ma gamelle pour un cendrier. Camel en bouche, fers aux pieds, j’prends ma douche sous le sablier.
L’amour a coulé sous la Seine, Sous l’eau J’rentre de soirée parisienne, En solo.
J’fais pas la fourmi, dormi tout l’été. La bise venue, dépourvu, j’ai trop bu, le cœur tout pété. Riez, riez, riez, riez, riez Personne ici ne m’entendra crier, Personne ici ne me verra me pendre, J’avais l’amour à prendre, l’égo m’a grillé. L’amour a coulé sous la Seine, Sous l’eau J’rentre de soirée parisienne, En solo.
Vous mourrez avant moi, riez ! Qui veut parier ? J’irai souffler sur vos cendres… Sur mon calendrier, vos noms rayés. J’irai souffler sur vos cendres… Si tu me vois briller, tant que t’y es, Vois si tu peux redescendre…. Pour mort, tu t’es fait prier, tu t’es grillé Merci pour la place à prendre…
Il me faut des gens pour m’alcooliser Seul et sans argent, ça fait drame et j’ai la flamme à attiser. Sans excuses pour boire, faut improviser Dans l’noir, j’me noierai, si t’as soif fais ça vite ou j’vais tout tiser. L’amour a coulé sous la Seine,
Sous l’eau J’rentre de soirée parisienne, En solo.
Demain, j’aurai déjà tout oublié Mr Hyde arrive et mon cerveau dérive, j’rends mon tablier. Tirez, tirez, tirez, tirez, tirez Sur ma corde et la soirée va vriller. Personne ici ne me verra me pendre, J’avais l’amour à prendre, l’égo m’a grillé… L’amour a coulé sous la Seine, Sous l’eau J’rentre de soirée parisienne, En solo…
Vous mourrez avant moi, riez !
Qui veut parier ? J’irai souffler sur vos cendres… Sur mon calendrier, vos noms rayés. J’irai souffler sur vos cendres… Si tu me vois briller, tant que t’y es, Vois si tu peux redescendre…. Pour mort, tu t’es fait prier, tu t’es grillé Merci pour la place à prendre…
Jusqu’au dernier verre, le miroir peut me tromper… Après, l’œil est troublé, le visage est trempé… L’idée d’être comme eux, j’peux plus l’avaler… J’y vois plus clair quand le décor est foncé….
Quand le cœur est fier, que le corps est défoncé… La vie, c’est ma pente… Laisse-moi dévaler…