Je veux te parler des ciels d´été Où les mouettes crient leur liberté Près des grandes vagues qui vont sans fin Loin de la folie des humains
Oui, ce monde existe pour toi Toi qui viens de naître, crois-moi
Loin des cités glauques et de leurs bruits Loin des hommes en guerre et de leurs cris Il est des matins où l´on s´éveille Comme au premier jour du soleil
Oui, ce monde existe pour toi Toi qui viens de naître, crois-moi