Laver nos vies d´avant Les amours incendiaires Quand on avait l´aplomb de dire tout haut Qu´on était soi-disant des amants téméraires Qu´on ne ferait jamais faux bond à notre crédo
Les crémaillères qu´on pend, nos jeunesses qu´on enterre Bizutage à la con, tomber le rideau ´Faut bien rentrer dans le rang, qu´attendais-t-on d´y hier ? J´trinque à nos vies qui vont comme tel fardeau
À nos regrets non rien ne ressemble À l´Eden que l´on squattait ensemble À nos regrets non rien ne ressemble À l´Eden que l´on squattait ensemble
On aurait pu surement esquiver l´ordinaire Ces prisons qui nous font vieillir trop tôt Toi les galeries marchandes, le cafard des hyper Moi le quotidien félon des escabeaux
À nos regrets non rien ne ressemble
À l´Eden que l´on squattait ensemble À nos regrets non rien ne ressemble À nos excès nos, joies, nos ex cambres
Laver nos vies d´avant Les amours incendiaires Quand on avait l´aplomb de dire tout haut Qu´on était soit disant des amants téméraire J´trinque à nos vies qui vont tel un fardeau [ensemble]
À nos regrets non rien ne ressemble À l´Eden que l´on squattait ensemble À nos regrets non rien ne ressemble À nos excès, nos joies, nos ex ´cambre À nos regrets non rien ne ressemble À l´Eden que l´on squattait ensemble