Le courant charrie d´anciens souvenirs D´anciens paradis laissons les partir Tu étais trop belle pour faire mes printemps Tu étais trop belle
Le pont des soupirs n´a plus rien à dire Car tu m´as volé mon cœur fatigué Comme les hirondelles tu aimais le vent Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour Les mots me reviennent à pas de velours Le ciel est en pluie de larmes fragiles De ton bleu tranquille du temps qui s´enfuit
Je n´ai plus d´envie je n´ai plus d´amour Qu´un débris de vie qui compte ses jours Comme les hirondelles tu aimais le vent Comme les hirondelles
Mes mains se souviennent de nuits sans retour Les mots me reviennent à pas de velours Le ciel est en pluie de larmes fragiles
De ton bleu tranquille du temps qui s´enfuit
Sur tes chemins gris les oiseaux du sud Te tiennent compagnie dans ta solitude Tu étais trop belle pour faire mes printemps Comme les hirondelles tu aimais le vent
Tu étais trop belle pour faire mes printemps Comme les hirondelles tu aimais le vent
Tu étais trop belle pour faire mes printemps Comme les hirondelles tu aimais le vent