Il pleurait des moussons tranquilles Et des reproches et des regrets Sur les tôles ondulées de l´île J´aurais jamais dû te quitter Un chat sans race s´étirait
Sur le piano du Regalty En griffant des accords secrets Aux embruns de mélancolie
Mais c´est toujours le même tango Qui remue le Ciel et la Terre Et fait que l´on est tous égaux Devant l´amour et l´éphémère Mais c´est toujours le même tango Qui se danse un pas en arrière Et fait se cambrer les égos Les soirs de dernières
Tant de pièges d´amour déjoués Pour se retrouver un matin Comme le piano, désaccordés Côté cœur et côté jardin Dans une vieille chanson d´exil
Un bandonéon fatigué Parlait de lumières et de villes Qui l´avaient un jour vu briller
Mais c´est toujours le même tango Qui remue le Ciel et la Terre Et fait que l´on est tous égaux Devant l´amour et l´éphémère Mais c´est toujours le même tango Qui se danse un pas en arrière Et fait se cambrer les égos Les soirs de dernières
Mais c´est toujours le même tango Qui remue le Ciel et la Terre Et fait que l´on est tous égaux Devant l´amour et l´éphémère Mais c´est toujours le même tango
Qui se danse un pas en arrière Et fait se cambrer les égos Les soirs de dernières