Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent partout les groseilles. Que notre sang rie en nos veines,
Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange, Azur et Onde communient. Je sors ! Si un rayon me blesse, Je succomberai sur la mousse.
Je veux bien que les saisons m’usent. À toi, Nature ! je me rends, Et ma faim et toute ma soif ;
Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents qu’au soleil ; Mais moi je ne veux rire à rien, Et libre soit cette infortune.